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27 avril 2018 5 27 /04 /avril /2018 10:39

 

 

J’adore tout de même quand et comme d’aucunes de notre dernière vague avantgardiste d’ascensionnelles, se suggérant radicales mais de fait se manifestant plutôt intégratives et réformatrices de l’institution, le dessus de notre crème subalterne quoi qu’il en soit, prétendantes à la gentry universitaire, politique, médiatique et compagnie, évoquent au passage, devant d’attentives autant que bienveillantes auditoires de gentes bien calées, acquises parce qu’acquéreuses, évoquent donc, lyrisent même les coliques morales que paraît-il leurs occasionne la conscience douloureuse de « devoirs » ou « d’obligations » envers la « communauté » – laquelle reste du coup bien nébuleuse, puisque baste, en réalité elles n’ont pas vraiment barguigné à profiter des promotions ciblées, à convivier avec des qui commettent des saletés transmiso, de manière générale à marcher sur la figure de celles, moins rentables et flamboyantes, qui leur ont autrefois peut on dire donné l'exemple, offert leurs premières approches un peu consistantes, donné les clefs quoi, et bien plus largement, significativement, sur celle de toutes les collègues loquedues, transses quotidiennes, éparpillées, sans valeur d’échange, qui rasent les murs. Dégâts collatéraux et piges opportunes du convergentisme, quoi. Du coup on ne sait plus très bien si on préférerait avoir été massacrées par le cynisme muet des unes plutôt que par le cynisme bavard de celles-ci qui se sont souvent spécialisées dans la récup’ d’amorces de problématiques qu’on leur a léguées, en tronquant celles ci adroitement pour qu’elles pariassent encore audacieuses, sans pour autant poser de questions systémiques. Toute ressemblance d’ailleurs avec les pensa studieux et lorgnatifs confectionnés à notre sujet par des cisuniversitaires, hein, bon… Rien laisser perdre.

 

Et puis c’est pas comme si on ignorait encore la signification réelle de la blague solidaritaire, en matière d’affinité et d’isopréservation des niveaux sociaux… Définitivement, il y a rupture, opposition, et ce sont même là euphémismes, entre les élites significatrices et les populations transses éparpillées ; les premières se sont appropriées, privatisées, l’air de rien, toutes les définitions collectives, communautaires, sororitaires et on en passe. Elles s’en sont fait des châteaux de placo pour affirmer l’universalité de leur sphère d’intérêt, de ce fait trans’universalisée ; la plus grande partie des transses a ainsi disparu encore plus radicalement (!) du paysage. N'ont que la visibilité au coin de la bouche, mais une visibilité conditionnée par la bonne socialisation et les catéchismes y adaptés. Il n’y a plus avec elles qu’une translande très circonscrite et pourtant absolutisée. Les éléments mêmes de définition ont été soustraits à la plupart d’entre nous par ces grumeaux élitaires. Nos radicales subjectivistes, positives et convergentistes s’étalent, occupent le crachoir avec rhétorique, ce qui en soi ne serait pas tant que ça un mal si elles ne cherchaient pas à donner l’impression qu’elles sont l’oméga, l’aboutissement, le résumé, la quintessence et pour tout dire la destination nécessaire des socialités transses, si elles ne s’étaient pas accaparées les termes généraux dont nous ne pouvons nous départir sans en manquer pour nous comprendre. Elles les ont enfermés dans leur boîte de sardines up grade. C’est de toute façon récurrent chez nous, les thèses et les tentatives de compréhension se coagulent en catéchismes et en directives. Mais ce n’est pas comme si nous avions toutes comme on dit accès même à la production et à l’usage de ces formes ; que ce soient les associatives, les radicales, les médiatiques, il y a une propension, qui reproduit celle de la société majoritaire, à parler au nom et en place de beaucoup d’autres, à assigner un discours qui plane et surplombe. Parler okay, mais gaffe sur les évidences, les généralisations, les vérités révélées et autres injonctions moral-politiques – en somme, à ce que nous n’arrivons bien ni les une ni les autres à faire, nous situer.

Qu’on soit ou non fan du discours, l’appropriation abusive des mots et des concepts dans le congélateur de l’objectivation valorisatrice nous cause un grand mal, nous ôte moyens et structures. Pour le coup on est coincées en plein dans le fichu grillage des « intérêts », cet élément de base de l’économie politique ; ceux qui pèsent et qui comptent emportent tout. En somme, voilà le bilan, en temps réel, de l’inclusivisme, tel qu’on l’avait déjà supputé : l’élimination et l’effacement de la plupart des minoritaires, ouste, pas flamboyantes, pas rentables, pas même profitablement utilisables pour les objectifs du social qui nous éblouissent, les unes et les autres.

Que ce soit quelque part « logique » dans les dynamiques actuelles, qui concentrent la valeur et attribuent tout les pactoles aux plus rentables à un moment donné, sans doute. Mais est-ce que nous avions fait vœu de respecter et perpétuer la logiques de choses en vigueur ? C’est ici une bien ennuyeuse question, parce que nous prétendons souvent que non, et nous faisons tout le contraire, jusques à prétendre cette logique essentiellement transformée par nos seules identités, ce qui relève de l’escroquerie et de l’antiphrase. Mais il faut que les choses soient claires : le motto subjectiviste et réactionnaire de la « sécession » ou de la « trahison » des « élites », présenté à la Bourdieu ou à la Lasch, afin d’éviter un matérialisme conséquent, comme un problème identiste, volontariste, est un énorme fake moraliste qui masque sa cause : la concentration du capital, de toutes les formes de valorisation, prévue par le vieux barbu comme constitutive de la crise finale de l’économie et qui bien évidemment laisse couler progressivement à peu près tout le monde, y compris une part grandissante des intégrées d’hier. Enfin, dans une mesure qui grandit et s’installe, les radicalités strictement politiques ont délaissé le domaine de la critique du social pour devenir des tentatives de réponses, de parement à cette concentration : en surenchérissant sur le déjà fait, sur les axiomes valorisables.

 

Conséquemment, et contrairement à ce que propose un pan du mythe élitaire (« faire le trou pour les autres », bien sûr arthure…), nos carriérantes ne portent et n’apportent pas grand’chose comme nouveaux moyens d’existence, ni d’émancipation, ni même bien souvent d’interprétation et encore moins de critique systémique, attelées à converger dans une avalisation subjectiviste et positivante a priori des rapports sociaux par l’anthropologisation affirmative de leurs éléments comme de leurs objectifs. Elle ne constituent que peu ou pas une aile vraiment discutante, se fondant dans une méthode consensuelle de plus en plus descriptive et affirmative. Elles ont, comme bien évidemment une foultitude d’autres, avalé la thèse libérale que rien de fondamental n’était changeable, même que se diriger dans cette direction état suspect, et que l’agency allait consister à s’y adapter, concurrence y compris. Et elles nous le moulinent dans de vaillantes conceptualisations, qui verbent fort mais dans le contenu, et surtout les implications réelles, capitulent. Leur radicalité, comme celles en général des subjectivismes actuels, même se disant matérialistes, se garde d’aller jusques à examiner à quoi servent, quels objectifs sociaux reproduisent, les catégories et concepts agités et mis en avant, des fois à raison d’ailleurs mais souvent sans conséquence. Subversives à fond mais intensément raisonnables quant à ce qu’il convient de préserver et perpétuer, de positiver, de ne pas questionner, quoi. Tout cela non par une supposée incapacité, nan, pas du tout, bien plutôt par intérêt, et pour parvenir à se fondre dans l’atmo intellectuelle qui prévaut en ce moment dans une partie du secteur des sciences humaines. Ça ne veut d’ailleurs pas dire, oh là non, que ce qui s’y oppose vaut mieux. C’est même plutôt le choix entre le cauchemar, la déception, la pusillanimité.

Et quand elles se mêlent de réclamer, comme on l’a mainte fois vu, dans le contexte de contraction rapide de l’économie et de qui y aura des droits effectifs, leur efficacité est de zéro, d’autant qu’elles y croient, finalement, à ce monde de droits et de statuts en faillite. Leur surplombance faussement humble, mais bien clôturée, nous guide juste à faire des tours d’honneur et de justification dans le cirque en l’état. Bref ces radicales intégrationnistes à un haut niveau nous pompent conscience, moyens, nous isolent, éparpillent, et nous barrent les chemins de possibles auto orga conséquentielles, en fonction de nos situations sociales effectives, de même que le monde associatif, mais avec un langage d’autorité morale politique encore plus éthérée, accaparante.

C’est pas une histoire morale, ça aurait été bien d’avoir du répondant et de la réflexion, mais elles ne portent rien de tout ça, dans la triste tradition de la partitocratie politique, du paléoléninisme de retour et de l’avant gardisme, qui se sont toujours hypnotisés à « faire mieux que l’originale » des objectifs sociaux incritiqués, et des omelettes consécutives que nous sommes toujours, les loquedues, les lambda, invitées à abonder, pendant que nos élites œuvrent paraît-il à nous ouvrir le paradis, et accessoirement à se sucrer, en féroce concurrence, avec ce que leur veulent bien céder leurs cisréférentes (quelle hiérarchie distributive – on a plus tôt fait de laisser tomber le service à thé et de s’en aller voir ailleurs si on y est !).

Soyons là aussi bien claires, c’est rien de le dire, nous avons besoin et manquons d’approches conséquentielles, reflexives, problématisantes ; et c’est rien de dire non plus que bien des idéologies actuelles font l’impasse dessus, méthodiquement. Il y a même un certain anti intellectualisme, volubile, a prioriste et pseudo-pragma, traditionnel de la classe moyenne révolote, laquelle cherche à s'oublier dans une brutalisation exotisante, qui court sous les récupérations tronquées de problématiques dont je cause par ailleurs. Nous ne nous posons pas assez de questions – et c’est bien sûr à nous de nous les poser. Il est inutile de faire mine de les poser aux autres, qui n’ont aucun motif d’y répondre, surtout quand c’est pour les dissoudre illico dans un grand sourire complice, comme font nos convergentistes intégratives.

 

*

 

Plus systémiquement, donc, il va falloir clairement que nous rompions avec la crédulité que nous servent et déversent nos élites – laquelle est d’ailleurs leur aussi, mais plus immédiatement intéressée – selon laquelle les objectifs sociaux majoritaires, la valorisation, la promotion individuelle, quelque part l’idéal très has been, « trente glorieuses », d’épanouissement dans les règles et les exigences propriétaires, citoyennes, doublée d’une rectitude morale-politique convergentiste, qui nous suggère de nous dévouer à la « cause », que nous faisons dès lors nôtres alors que presque pas une d’entre nous n’en a les moyens, vont nous booster, profiter, promouvoir. C’est mort, trois fois mort cette histoire. Il nous faut nous auto-organiser sur l’abandon de ces balivernes moralistes, dépassementistes, vessies et lanternes qui servent à nous éblouir, à nous attirer, et à nous dissuader, nous empêcher de déterminer nos nécessités les plus pressantes. Ce qui d’ailleurs ne nous est pas évident car il nous faudra aussi beaucoup en rabattre et en rediriger si nous voulons réellement nous occuper de nous au plus large, et nous faire nous-mêmes place collective, à l’inverse de la logique de tri qui règne actuellement dans leur transselande pyramidale. Réclamer la reconnaissance, l’inclusion aux buts majoritaires évidentisés, hégémonisés, est à la fois aller droit dans le mur, bénévolement, et conserver une attitude structurellement légitimiste, masculine – « je devrais avoir accès à ». Ben non. Il va au contraire falloir sérieusement vivisecter ces histoires d’accès, donc d’appropriation. Il nous faut, ne serait-ce encore une fois que pour ne pas collaborer à la violence que nous subissons, renverser la perspective, de l’a priori à l’a posteriori. Partir d’où nous en sommes et de ce que nous manifestons, pas de directives citoyennes idéales, lesquelles ont toujours égaré et verrouillé les situations minoritaires. En coupant l’herbe normalisante et intégrationniste, d’une part nous nous constituons un soubassement avec moins de pièges, d’autre part nous tranchons les pseudopodes de nos petites élites. C’est aussi notre attentisme, où on aimerait encore y croire, qui perpétue, cimente, permet cette situation et la nourrit. La problématique est nôtre, même si pas du même point.

 

Par le même genre de raisons, ça leur est tout bonnement sacrément gonflé de causer de communauté (et qui plus et d’une indivisible toussa, comme la république ?). Mais pareil à nous. Il n’y a pas de communauté possible tant que la règle de la réussite et de l’intégration individuelle, fut-elle assaisonnée d’identisme, s’impose et est reprise. Et de toute façon il n’y aurait, si nous parvenions à nous désengluer de ces exigences impossibles et éliminatoires, pas une mais plusieurs communautés transses, vu que nous sommes loin d’être les unes et les autres dans les mêmes positions et rapports. Le terme de communauté ne sert actuellement que de prétexte et d’outil à une couche supérieure, normative, pour se récupérer une légitimité et a priori sur le dos de toutes celles qui rament ; il ne vise qu’à instrumentaliser une image en partie réelle, en partie fantasmée, qui nous est à la fois imposée et arrachée, afin de s’assurer une place de représentatives à cislande. Ça aussi, il faut bien le dire, c’est une vieille tradition syndicale. Tous les mots qui sont utilisés pour faire illusion au sujet de l’existence d’une socialisation qui elle-même, ô sympathique surprise, justifierait et remblayerait les promotions sociales opportunes, deviennent dans cette optique et des mensonges et quelque chose de pire puisque leur usage, encore une fois, les déplace, les fait glisser sur la pente savonneuse de la valorisation, et en soustrait l’utilisation possible à la plus grande part d’entre nous, nous expulse de fait hors des significations ordinaires, accessibles, qui leurs sont adjointes. Et ce ne nous est pas la moindre amertume que de voir certaines de nos grimpeuses agrippées user dans la concurrence qui les oppose d’arguments quelquefois assez malins, bien trouvés ou plutôt bien récupérés, sur cet usage même – mais attention, sans remettre jamais en cause la base évocatrice. Il n’y a pas d’imbéciles, surtout quand l’enjeu de l’intégration en période de crise attise les neurones ; il y a des utilitaristes, et rien n’est arrangé quand en plus ces utilitaristes sont en une certaine mesure sincères, se croient quoi ; bien au contraire. La sincérité, l’autoécoute et l’autocentrage, le retour de croyance, le miroir intellectuel dans lequel on cherche la justification, est ce qui porte souvent le plus de dégâts.

 

*

 

Bon, on peut bien sûr toujours espérer, et on l’espère, pasqu’on ne pardonne pas, que cette décomplexion cynique et libérale leur retombera sur la figure – quand on est transse, on a beau être portée sur de petits coussins, ciscole, cisnorme, on reste une subalterne, on garde un tantinet de bouse illégitime au derrière, et une méconvenue, un malheur sont toujours possible, même probables et jugées inévitables dans certaines équipées. En attendant, c’est sûr, le pouvoir et la valeur s’attirent et se renforcent. Mais tout cela ne règlera en rien notre affaire, celle de la très grande pluralité des transses. Il y a du taf, de compréhension et d’organisation, qui nous incombe, une fois les pseudopodes tranchés, le tuyau acoustique coupé.

Il n’y a pas d’identité a priori qui dépasse, surplombe, échappe par sa vertu propre aux inégalités et contradictions. Et enfin, surtout contre l’illusion qu’une fois qu’on est en non-mixité, hop, tout nous est accessible et servi, pertinence, lucidité, safety. Ben non, les rapports sociaux sont multiples, le pouvoir s’incruste, les approches et compréhensions des choses ne sont pas immédiates. La pourriture en actes bien réelle dont nous causons ici, et qui est nôtre, pareil, ne lésinons pas sur la critique, n’est pas morale, ni subjective, ni individuelle, quand même elle apparaît fréquemment à ces niveaux ; elle est sociale et intellectuelle ; la morale est précisément encore une échappatoire pour ne pas examiner d’où vient tout cela, et nous avec. Il faut en finir avec la vérole dualiste qui encore une fois pose les objectifs en évidence, les soustrait à toute critique, et nous évalue après en fonction de notre bonne volonté à l’égard de leurs exigences systémiques papillotées en vérités révélées et conciliatrices.

 

Enfin, et dès à présent, une chose doit être claire : déjà, le minimum est de refuser à nos élites perscriptices en question, de leur retirer sans délai, tout soutien, toute adhésion, toute tolérance. Et, surtout, si jamais nous parvenons, dans la multitude transse, les pas rentables, les imprésentables de moins en moins nombrables, à nous auto-organiser socialement, il n’y aura pas de place pour celles qui auront profité de la faiblesse, de l’éparpillement, pour grimper sur la gueule des autres, leur enjoindre leur mode de compréhension et d’existence. Surtout en cas de, bien sûr ! Qu’elles gardent, et défendent, leur strapontin à cislande, où on ne leur souhaite que d’être broyées à quelque occasion éminemment paradoxale… ou à quelque retour aux fondamentaux ! On ne boudera même pas, nous les loquedues, notre plaisir si on peut y assister de loin, sans nous fatiguer. Ni oubli, ni pardon ; bien sûr par rancune et même un peu vengeance, il y a de quoi, mais surtout pour cesser de répéter, de reproduire les cadres par lesquels nous nous instrumentalisons et anéantissons nous-mêmes dans des buts qui nous détruisent pour la grande plupart. « Vous chantiez ? j'en suis fort aise ; hé bien dansez maintenant. »

 

Ni présentables, ni représentables, parce que sans valeur d’échange, et pas à instrumentaliser ; la tentative de nos élites subalternes de nous réduire à leur projet, de nous résumer, est en soi un abus, une impasse, une prévarication. Elles font ce qu’elles désirent ; nous ferons ce que nous pourrons. De plus en plus, à mesure que nous prenons place et forme dans le présent, nous constatons en même temps que les forces et les rapports sociaux qui ont aussi présidé à notre apparition nous informent et nous séparent, qu’il n’y a pas, qu’il ne doit pas y avoir, qu’il n’y aura jamais « d’unité transse », de convergence des « intérêts » (forme elle-même historique encore une fois du sujet/agent de l’économie politique, que la logique éliminatoire de celle ci menace la plupart d’entre nous, et qu’acquiescer aux sirènes d’une ensemblité indexée sur les plus rentables, ou qui essaient de l’être, nous serait mortelle. L’heure, là encore, est à la séparation, pour nous en tant qu’existantes, peut-être aussi pour que transselande ne finisse pas réduite, entre autres, à une excroissance croupionne et exotique de l’intelligentsia institutionnelle cisgenrelandienne et reproductrice des critères de la valeur. Mais enfin, ça c’est déjà second : d’abord subsistons.

 

Leurs espoirs, leurs attirances, leur valorisation, leur transselande ne sont pas les nôtres. Et réciproquement.

 

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La Bestiole

  • : transse et bie juskaux yeux ; vivisecte les économies politiques, premier, second marché ; acétone et antivitamine K - Le placard à Plume, la fem-garoue
  • : Un informel méthodique, exigeant, fidèle, pas plaintif, une sophistique non subjectiviste, où je ne me permets ni ne permets tout, où je me réserve de choisir gens et choses, où je privilégie le plaisir de connaître, c est là mon parti pris, rapport aux tristes cradocités qui peuplent le formel cheap, repaire des facilités, lesquelles en fin de compte coûtent bien plus. Je me vante un peu ? J espère bien. Déjà parce qu ainsi je me donne envie de mieux faire. Hé puis ho ! Z avez vu les fleurs et les couronnes que vous vous jetez, même l air faussement humble ? Faut dépercher ; quelqu'orgueil assumé vaut mieux qu une pleine bourse de roublardise attirante. Je danse avec le morcellement et la sape de l'économie, de la valorisation, de la fierté, de l'empouvoirement.
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